"Toutes les monstruosités violent les gestes atroces d'Hortense. Sa solitude est la mécanique érotique, sa lassitude, la dynamique amoureuse. Sous la surveillance d'une enfance, elle a été, à des époques nombreuses, l'ardente hygiène des races. Sa porte...
Un titre qui n'a rien à VOIR avec la photo. Quoique ... Un texte de Robert PIRSIG aussi. Quoique... "Le passé n'existe que dans nos souvenirs, le futur n'existe que dans nos projets. Le présent est notre seule réalité. L'arbre dont on prend intellectuellement...
Dans la vieille Medina de Casablanca, à la découverte des noms de rue. Le sobriquet de "chleuhs", que l'on donnait aux occupants allemands pendant les deux dernières guerres mondiales, provenait des souvenirs cuisants que les guerriers chleuhs (peuple...
A Casablanca, près du port, on trouve encore de vieux camions BERLIET en état de marche. J'aime leurs rides, leurs moteurs burinés et leurs yeux aux couleurs de l'horizon. Photo du 15 septembre 2008.
"Nous pêchions des êtres interstellaires qui nous ébahissaient, tant ils nous semblaient étranges, mais dont la chair exquise nous régalait et était un précieux adjuvant à l'ordinaire de l'équipage. Tout le monde était gai, bien portant." (extrait de...
Dans la vieille Médina de Casablanca (Maroc), le 13 septembre 2008. "En tous cas, ne comptez pas que mon humeur deviendrait moins vagabonde, au contraire, si j'avais le moyen de voyager sans être forcé de séjourner pour travailler et gagner l'existence,...
"Et la Mère, fermant le livre du devoir, S'en allait satisfaite et très fière, sans voir, Dans les yeux bleus et sous le front plein d'éminences, L'âme de son enfant livrée aux répugnances." Premiers vers du poème d'Arthur Rimbaud Les poètes de sept ans,...
Le 22 mai 1891, déposé à 2h50 du soir, Arthur Rimbaud, hospitalisé à Marseille à son débarquement en provenance de Harar (Afrique orientale, territoire Somali), fait tenir à sa mère le télégramme suivant : "Aujourd'hui, toi ou Isabelle, venez Marseille...
"Le Soleil, le foyer de tendresse et de vie, Verse l'amour brûlant à la terre ravie, Et, quand on est couché sur la vallée, on sent Que la terre est nubile et déborde de sang; Que son immense sein, soulevé par une âme, Est d'amour comme dieu, de chair...