No Country for Old men
(Photo prise en Slovénie, mai 2012.)
Le titre est celui d'un roman de Cormac McCarthy, dont les frères Coen ont tiré un film.
Lorsque je consulte un livre pour la première fois, j'ai pour habitude de lire avant toute chose les premières et les dernières phrases.
Voici celles de No Country for Old Men (traduction par François Hirsch, Editions de l'Olivier) :
"Jai envoyé un homme à la chambre à gaz à Huntsville. Un seul et rien qu'un. C'est moi qui l'ai arrêté et il a été condamné sur mon témoignage.
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"Et dans le rêve je savais qu'il allait plus loin et qu'il voulait allumer un feu quelque part là-bas dans tout ce noir et dans tout ce froid et je savais que n'importe quand j'y arriverais il y serait. Et alors je me suis réveillé."